Traduction de deux extraits d’une revue d’Art Lituanienne sur le Symposium « Forgotten Présent » en Août 1996.

Espace – raréfié : Il ne contient rien ni personne, il est une carcasse nue avec des orifices. Des bâtisses tremblantes de sénilité, ne sont soutenues ni par des atlantes à la peau dure ni par des cariatides à tête dur, mais par « un tissu ajouré et ouvert sur l’extérieur et intérieur ».

En effet, les espaces intérieur et extérieur se mélange librement non seulement quand les portes et les fenêtres sont ouvertes (plan horizontal, quotidien) mais aussi à la porte du paradis (ligne verticale) dans la pièce de martine Hoyas( France).

Toutefois l’artiste n’a pas cherché à atteindre cet au- delà, les cieux étant descendus d’eux-mêmes dans la pièce blanche.

Ce n’est pas là une vision mystique, c’est plutôt la nature qui force un passage dans la culture

Par son odeur et ses blessures visibles du temps. Les ruines ressemblent à une créature à la respiration difficile qui perdrait ses cheveux, cracherait ses boyaux et lécherait ses genoux endoloris. Des pellicules en plâtre apparaissent dans ses cheveux, sa peau gercée et cloquée pèle et son corps comme parasite, reproduit des moisissures et des idées artistiques….